UNION des MARINS de LORRAINE
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Les Villes Marraines de Lorraine
- Porte hélicoptères Jeanne d'Arc R97 : Domrémy la pucelle - Nancy
- Sous marin nucléaire d'attaque Saphir S602 : Épinal
- Pétrolier ravitailleur Meuse A607 : Conseil Général de la Meuse
- Frégate "Guépratte" F 714 : Metz
- Remorqueur ravitailleur Rari A364 :Saint Avold
- Frégate La Fayette F710 : Saint Dié des Vosges
- Dragueur de mines côtier Céphée M756 : Stiring Wendel
- L'Association des Villes Marraines
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Domrémy la Pucelle - Nancy - Orléans - Rouen - Vaucouleurs
Porte hélicoptères "Jeanne d'Arc" R97
Ambassadrice de la France autour du monde, la "Jeanne" a reçu et formé au cours de ses annuelles "Campagnes d'application" des milliers d'officiers de Marine et des différents corps. C'est un moule unique où se forgent les caractères, où les élèves de l'Ecole navale passent du statut d'étudiant à celui de marin, s'engageant pour la première fois dans les postes de responsabilité et de compétences techniques qui seront les leurs tout au long de leur carrière militaire. Sa modernité lui permet de tenir parfaitement son rôle de "banc d'essai" pour la formation militaire et maritime des jeunes enseignes de vaisseau à un galon.
Construit à Brest et baptisé à l'origine La Résolue, ce porte-hélicoptères fut mis sur cale le 7 juillet 1960, lancé le 30 septembre 1961 et mis en service le 16 juillet 1964 (date du changement de nom). Il a remplacé dans cette fonction l'ancien croiseur Jeanne d'Arc.
Navire de prestige, voué au bals, aux fastueuses réceptions et aux visites de hautes personnalités lors des escales, la "Jeanne" n'en est pas moins un bâtiment militaire qui pourrait intervenir en cas de conflit, grâce à ses possibilités multi-rôles. Dans cette fonction, il ne peut embarquer que 4 hélicoptères lourds. En temps de guerre, il serait utilisé comme porte-hélicoptères ASM, comme porte-hélicoptères d'assaut ou comme transport de troupes. Sa capacité en hélicoptères lourds pourrait être doublée grâce à des transformations rapides.
Le bâtiment accompagnateur, la conserve, est la frégate Georges Leygues : cette présence d'un autre bâtiment est rendue nécessaire par les exercices en mer et pour "donner du large" aux promotions devenues chaque année plus nombreuses, étant ainsi à même de transborder pour quelques jours sur un type de navire différent où les conditions de service sont autres.
La Jeanne d'Arc est parrainée par les villes de Rouen, Domrémy-la-Pucelle, Nancy, Orléans, et Vaucouleurs. La date de retrait du service de la Jeanne est fixée à 2010.
Source : NETMARINE : http://www.netmarine.net/g/bat/jeanne
Bibliographie: "Les Hommes à terre" R97
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Sous marin nucléaire d'attaque "Saphir" S602 - Date : 11 novembre 1987
Mis sur cale à Cherbourg le 1er septembre 1979, lançé le 1er septembre 1981, le Sous-marin Nucléaire d'Attaque (SNA) Saphir (ex Bretagne) a été admis au service actif le 6 juillet 1984. C'est le deuxième de la série.
Basé à Toulon comme tous ses sisterships, il effectue sa première mission (Okoumé) en 1985 le long des côtes d'Afrique occidentale, mais aura connu tout au long de sa carrière l'Atlantique, la Méditerranée et l'océan Indien à plusieurs reprises.
Le Saphir a subi un grand carénage d'octobre 1989 à mai 1991 de manière à augmenter ses capacités au niveau de l'Améthyste.
Il s'est distingué en 1999 en mer Adriatique, en effectuant le soutien du groupe aéronaval, partie intégrante au dispositif de frappe aérienne sur des objectifs militaires en République Fédérale de Yougoslavie (opération Trident). C'est l'un des sous-marins qui, à proximité des côtes yougoslaves, a interdit la sortie des navires serbes des bouches de Kotor, privant Milosevic de l'emploi de ses forces navales. Il a également constitué une excellente source de renseignement pour l'ensemble des forces.
En septembre 2001, le Saphir a coulé lors d'un exercice d'entraînement au tir de torpille, la coque de l'ex-escorteur d'escadre D'Estrée. De janvier à juin 2002, il a effectué une mission de protection du porte-avions Charles de Gaulle au sein de la Task Force 473 en océan Indien, lors de l'opération Héraclès de lutte contre les réseaux terroristes en Afghanistan, en participant à la prévention des exfiltrations par voie maritime de terroristes d'Al Qaïda.
Le Saphir a pour ville marraine Epinal depuis le 11 novembre 1987. Deux équipages (bleu et rouge) se relaient tous les trois mois environ pour armer le bâtiment.
Janvier 1987 : Visite du maire d'Epinal
Le 28 janvier, Monsieur Philippe Seguin, ministre des affaires sociales et de l'emploi, se rend à bord du Saphir.
Ce n'est pas le ministre mais le maire d'Epinal qui est reçu : La préfecture du département des Vosges a en effet accepté de parrainer le sous-marin.
A son arrivée à Hyères, Philippe Seguin est accueilli par le VAE Duthoi. Une Alouette III de la 23S les dépose à Saint Mandrier, le sous-marin attendant à une encablure, balloté par un clapot d'Est.
Après un accostage délicat, le ministre disparaît par la trappe avant. (Journal de marche BAN St Mandrier)
Source : NETMARINE http://www.netmarine.net/bat/smarins/saphir
La Ville d'ÉPINAL
Un peu d'histoire :A la fin du Xème siècle, Thierry de Hamelant, Évêque de Metz, crée une Église, un monastère et un marché sur le site de Spinal (petite cité), déjà dominé par un château. La cité devient vite un centre d'attraction politique, économique et culturel fier de son indépendance durement gagnée au contact des "4 nations" : Lorraine, Alsace, Bourgogne / Franche-Comté, Champagne.
La vieille église Saint-Maurice (XIème-XIIIème siècle) est le témoignage prestigieux de la rencontre des styles de ces pays.Consacrée par le Pape Léon IX vers 1051
Voutée au XIIIème siècle
Grande église aux styles variés: Rhénan, Champenois, Bourguignon
Eglise Mère d'Epinal épargnée par les guerres
Classée Monument Historique ainsi qu'une partie du mobilier
Après la catastrophe humaine et économique des guerres du XVIIème siècle, l'activité renaît à Épinal. Il faut citer, en particulier, le commerce des faïences, du papier, des toiles et draps et surtout le développement de l'Imagerie qui dépasse aujourd'hui le temps et les frontières.
La prospérité contemporaine naît de la défaite de la France en 1871. L'annexion de l'Alsace par l'Allemagne permet à Épinal de devenir une place forte équivalente à Verdun et provoque l'installation des filateurs et tisseurs alsaciens.
Malgré et peut-être à cause des destructions massives de 1940 à 1944, la ville développe depuis, une intense activité industrielle et tertiaire qui en fait le centre de décision économique de la Lorraine du Sud.
Source : http://www.ville-epinal.fr
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20ème Anniversaire du Parrainage Ville d'ÉPINAL - SNA SAPHIR S602
Le 20ème anniversaire de ce parrainage a été célébré à EPINAL en décembre 2007 lors du week-end de Saint-Nicolas en présence d'une importante délégation du sous-marin nucléaire d'attaque Saphir et de représentants de l'ensemble des villes jumelles.
À TOULON les 31 mai et 1er juin derniers pour une délégation d'élus conduite par Monsieur le Député-Maire, un groupe de médaillés militaires et de jeunes lycéens/étudiants.
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Communication : Francis GUIDAT,Conseiller Municipal délégué - Chargé des Jumelages et Parrainages et des Relations internationales (Photos D.R.)
Photo de gauche: de gauche à droite : Francis GUIDAT, CF Alban LAPOINTE commandant équipage rouge, Michel HEINRICH député-maire d'ÉPINAL
Parrainage SNA « Saphir » Ville dEpinal 20 ans déjàPar Rédacteur en chef Portail des Sous-Marins
Publié le 7 juin 2008, dernière mise à jour le 6 juin 2008.
Dans le cadre des célébrations du 20ème anniversaire du parrainage du SNA « Saphir » par la ville dEpinal, une délégation de la ville sest rendue à Toulon le week-end du 31 mai 1er juin 2008. Composée délus dont le député-maire, M. Michel Heinrich, danciens combattants ainsi que dun groupe de lycéens, cette délégation est le témoin du dynamisme de ce parrainage.
Faisant écho au déplacement dune délégation du « Saphir » à Epinal en décembre 2007, cette manifestation a permis une nouvelle fois de démontrer la richesse des liens qui unissent la ville et le sous-marin depuis 20 ans. Lannée 2008 est aussi le centième anniversaire du sous-marin « Saphir » (1908 2008).
Dès leur arrivée, les Spinaliens ont été plongés dans lambiance si particulière dun sous-marin en navigation, au travers des différents simulateurs de lEcole de Navigation Sous-Marine armés par léquipage du « Saphir ». Passant subitement dun poste central navigation-opérations de SNA prenant 30° dassiette en réaction face à une voie deau au concert dalarmes dun Poste de conduite propulsion luttant contre une fuite primaire, nos visiteurs ont pu reprendre leur esprit en prenant la place des « oreilles dor » pour simmerger dans le monde du silence. Silence ? Rapidement les pétroliers, sous-marins ou autres émissions sonar ramènent nos Vosgiens à la réalité dun sous-marin en opérations, et leur permettent sans délai de découvrir la navigation à limmersion périscopique sous menace.
Cette découverte des bateaux noirs naurait pu être complète sans une visite réelle dun submersible, après la trêve dun déjeuner. Ainsi les groupes senchaînent pour visiter la « Perle », le « Saphir » étant alors en mer, à loccasion des essais après une longue IPER, et compléter ainsi lapproche théorique de la matinée. Limmersion dans cet espace restreint ne laisse pas indifférents nos sous-mariniers dun jour. Si limpression initiale est celle dun espace plus grand quattendu, rapidement le cheminement dans les coursives étroites et lenchevêtrement de tuyaux confirment la réputation despace confiné des SNA. Les questions se multiplient sur le fonctionnement dun sous-marin et le mode de vie à bord, pour la plus grande joie de léquipage ravi de cette nouvelle occasion de partager leur quotidien. Après une présentation de la base navale et des différents bâtiments à quai, léquipage accueille nos visiteurs dEpinal pour un cocktail détendu au cap Brun afin dapprofondir ces échanges, profitant de ce site exceptionnel pour admirer le retour du BPC « Tonnerre » dans une rade ensoleillée.
Après une nuit de repos, une cérémonie militaire est organisée le lendemain pour commémorer solennellement ce 20ème anniversaire en réunissant une nouvelle fois léquipage du « Saphir » et la délégation dEpinal, en présence du député-maire dEpinal, du chef descadrille des SNA et de deux anciens commandant du « Saphir ». Cette cérémonie est loccasion dune remise de décorations et dun certificat élémentaire de sous-marinier, permettant ainsi dimprégner davantage les délégations spinaliennes dans notre culture militaire. Le commandant du « Saphir » saisit cette occasion pour insister auprès des plus jeunes sur la nécessité dentretenir des liens étroits entre nos armées et la société civile, discours renforcé par la présence des anciens combattants.
Après léchange traditionnel de cadeaux, lheure est venue pour la délégation de retrouver ses montagnes vosgiennes. Les adieux se font autour dun verre de lamitié, sur fond de musique baroque interprétée par la musique des équipages de la flotte de Toulon.
Ce week-end a permis une nouvelle fois de démontrer la richesse des liens qui unissent le « Saphir » à la ville dEpinal, relation toujours aussi dynamique après 20 années. Mais dépassant le cadre du parrainage, il a aussi été loccasion pour léquipage de partager in situ ses motivations pour un métier aussi original, et den faire découvrir la technicité et le professionnalisme exigeant. Avec lespoir de mieux faire connaître la marine auprès de la société civile, et de peut-être susciter des vocations parmi les plus jeunes
Source : Saphir (Equipage Rouge) - Le Portail des Sous-Marins : http://www.corlobe.tk/article9305.html
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Metz
Frégate "Guépratte" F 714 - Date : 2 octobre 2004
La frégate Guépratte est la cinquième et dernière frégate type La Fayette. Mis sur cale en septembre 1997 à la DCN Lorient, mis à flot le 3 mars 1999, elle a rejoint Toulon, son nouveau port base, et la Force d'Action Navale, le 23 octobre 2001.
Après une traversée de longue durée qui l'a menée en Norvège, Suède au Canada et Etats-Unis, elle a été admise au service actif en novembre 2001. Depuis sa mise en service, le bâtiment a participé à la mission Héracles de lutte contre le terrorisme international et les trafics illicites dans le nord de l'océan Indien.
Le Guépratte présente quelques différences avec ses sister-ships, qui se caractérisent par une meilleure prise en compte des contraintes environnementales, notamment lamélioration des capacités de stockage des eaux grises limitant les rejets à la mer, ainsi que des améliorations en matière de moyens d'interception radio et d'habitabilité. De plus, contrairement aux quatre premiers bâtiments, cette frégate peut accueillir 25 femmes marins, sur un équipage total de 150 personnes.
La frégate Guépratte a pour ville marraine Metz depuis le 2 octobre 2004. Elle parraine également la « Flotte Guépratte », nom générique de la classe préparatoire du lycée naval aux grandes écoles.
Source : NETMARINE http://www.netmarine.net/bat/flf/gueprat/index.htm
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Pétrolier ravitailleur "Meuse" A607 - Date : 22 juin 1985
Composante de la Force d'Action Navale, le Pétrolier Ravitailleur (PR) Meuse est le deuxième d'une série de cinq pétroliers ravitailleurs type Durance.
Mis sur cale en 1977 et lancé à Brest en 1978, le PR Meuse a été admis au service actif le 21 novembre 1980.
C'est avant tout un bâtiment de soutien logistique garant de l'endurance à la mer du groupe aéronaval (3000 personnes) et donc de la capacité des forces à se projeter loin du port base. Enfin, comme tous les bâtiments de la Marine nationale, la Meuse participe aux missions de service public et de représentation du pavillon français à travers le monde.
Le PR Meuse est parrainé par le Conseil Général de la Meuse depuis le 22 juin 1985.
Le Ravitaillement à la Mer (RAM) :En liquide (carburant, eau), la Meuse peut ravitailler à couple (ravitailleur et ravitaillé sont à côte à côte) ou en flêche (les deux bâtiments se suivent).
Les transferts de charges lourdes (vivres, matériels, munitions) se font à couple ou par hélicoptères. Equipé de 4 postes de ravitaillement à couple et de 2 postes en flèche, la Meuse peut ravitailler simultanément en route et à la mer jusqu'à 3 bâtiments. Sa plate forme hélicoptère permet de mettre en oeuvre, de jour comme de nuit, des hélicoptères légers (Alouette, Dauphin, Lynx).
Source : NETMARINE http://www.netmarine.net/bat/pr/meuse
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Remorqueur "RARI" A634 - Date : 10 juin 2006
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Le remorqueur ravitailleur RARI en Penfeld à BREST en 2002
Construit par par les chantiers Bréhéret à Couéron et lancé le 16 avril 1984, le remorqueur-ravitailleur type RR 4000 Rari, du nom polynésien de la loche sanguine, est en service depuis le 21 février 1985 dans la Marine nationale . Ce type de bâtiment, appelé « supply » ou AHTS dans l'industrie offshore, a été construit pour les besoins de la Direction du Centre d'Expérimentation Nucléaire (DIRCEN).
Affecté dans le Pacifique dès son admission au service actif, son activité a essentiellement été centrée sur les opérations liées aux expérimentations nucléaires à Mururoa et à Fangataufa. Comme son sister-ship le Révi, il aura mené à bien d'innombrables missions de remorquage de barges, de positionnement et de relevage de balises, de mouvement portuaires, de ravitaillement et de soutien aux équipes de préparation, d'exécution et de dépouillement des essais. Il a pu ainsi participer à huit campagnes d'essais, totalisant 51 tirs.
Le Rari a aussi fréquemment apporté son concours aux missions de service public en Polynésie française sauvant de nombreuses vies humaines. Ainsi, le 22 mars 1990, il sauve les 39 naufragés de la goélette Vaiharé qui avait fait naufrage dans l'Est de Papeete.
Basé à Brest à partir de décembre 1998, il y remplace dans ses missions de service public le Centaure. En 2000, il interviendra notamment à plusieurs reprises autour de l'épave du pétrolier Erika, dans le cadre de la lutte anti-pollution. En 2003, il part en mission dans l'océan Indien. En 2005, il vient en aide aux sinistrés de l'ouragan Katrina en Louisiane. Le 27 février 2006, il participe à l'arraisonnement, à 1 300 km au large de Dakar, du Master Endeavour, un caboteur de 97 mètres battant pavillon panaméen et transportant environ 1,5 tonne de cocaïne.
Mis en complément le 31 mars 2008, le Rari a vu sa dernière cérémonie des couleurs le 20 juin 2008 à Brest. Après passage au bassin, sa coque rejoindra le cimetière marin de Landevennec. Le Rari était parrainé par la ville de Saint Avold depuis le 10 juin 2006.
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La dernière cérémonie des couleurs a eu lieu sur le Rari le vendredi 20 juin 2008, en présence de l'équipage, d'anciens commandants et de madame Véronique Bour-Mas, de la ville marraine de Saint-Avold.
Source : NETMARINE http://www.netmarine.net/bat/remorque/rari/index.htm
Parrainage - Photos. . . . .
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Source : Amicale des anciens de la marine de Stiring-Wendel http://marinestiring.com/cariboost1/crbst_33.html
La Ville de Saint Avold
Chef lieu de Canton avec une superficie de 35,48 km2, Saint Avold a une population de 17473 habitants soit environ 7400 foyers. Saint-Avold apparaît aujourd'hui comme une ville phare au sein de la Moselle-Est. Située à mi-chemin entre la Metz et Sarrebruck, elle est desservie par l'autoroute Paris-Strasbourg et Paris-Allemagne.
L'attrait touristique et culturel de la ville est lié à l'histoire de Saint-Avold riche en événements, notamment par l'importance du passé religieux de la ville qui connut un premier essor avec le développement d'une communauté bénédictine.
De nombreux édifices religieux attirent l'attention du public : l'ancienne Abbatiale Saint Nabor, la Basilique Notre-Dame de Bon-Secours, la Chapelle Sainte Croix (15ème siècle).
Longtemps possession évéchoise, la ville passe au Duché de Lorraine à la fin du 16ème siècle puis au Royaume de France en 1766.
Au 18ème siècle, période de prospérité, furent édifiées les nombreuses maisons aux belles portes en chêne sculptées de la rue Hirschauer. L'actuel hôtel de ville, est un exemple type de cette architecture remaniée au 19ème siècle.
Le passé militaire a également laissé de nombreux témoignages dont le plus important est le cimetière américain de la seconde guerre mondiale. Ce dernier est le plus grand d'Europe de la seconde guerre mondiale (46 hectares). Il renferme les sépultures de 10 489 soldats et aviateurs américains dont la plupart sont tombés au cours des batailles dans les régions frontalières et lors de la conquète du Rhin. La libre jouissance du terrain fut accordée à perpétuité au gouvernement des Etats-Unis par le gouvernement français. Le cimetière, divisé en 9 parties symétriques est dominé par une chapelle mémoriale. Divers équipements tel que le Centre d'Action Culturelle accueillent en permanence des manifestations et spectacles tels que des concerts, des expositions ou de nombreuses manifestations associatives
Sources : http://www.stiring.net/saint-avold/ - http://www.mairie-saint-avold.fr/index2.php
Mme BOUR-MAS Véronique, 6ème adjointe, Déléguée au Devoir de mémoire, à la Citoyenneté, au Comité consultatif de la vie locale, aux Comités des quartiers, aux Archives, aux Conseils des Séniors et au Tourisme v.bour-mas@mairie-saint-avold.fr
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Frégate "LA FAYETTE" F710 - Date : 21 octobre 1995
Mis sur cale le 15 décembre 1990, mis à flot le 13 juin 1992, le La Fayette, premier d'une série de cinq bâtiments, a été admis au service actif le 22 mars 1996.
Conçu principalement pour préserver et faire respecter les intérêts de l'Etat sur les espaces maritimes outre-mer et pour participer au règlement de crises hors Europe, ce bâtiment de combat de premier rang est également susceptible d'être intégré à une force aéronavale. C'est pourquoi, il est aujourd'hui intégré à la composante toulonnaise de la Force d'Action Navale. Il peut aussi être amené à assurer le soutien d'une force d'intervention ou la protection du trafic commercial, et à effectuer des opérations spéciales ou des missions humanitaires. L'importance accordée à la réduction de sa signature radar et acoustique, sa conception modulaire et son degré élevé d'automatisation le désignent comme un bâtiment du XXl ème siècle, innovant à plus d'un titre.
La frégate La Fayette a pour ville marraine Saint-Dié (Vosges) depuis le 21 octobre 1995. Le nom de La Fayette a déjà été porté par un porte-avions (ex américain Langley) en service dans la Marine nationale de 1951 à 1963. Un sous-marin nucléaire lanceur d'engins américain a aussi porté ce nom : USS Lafayette (SSBN-616) de 1963 à 1991.
Source : NETMARINE http://www.netmarine.net/bat/flf/lafayette
- Partenariat Marine Nationale/Éducation Nationale:
- Un projet socio-éducatif exemplaire : Collège J.J. Souhait - FLF Frégate La Fayette F710
- Préparation Militaire Marine (PMM) en Lorraine :
- La PMM "JASON" de METZ a pour marraine la Frégate La Fayette F710...
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Drageur de Mines côtier "Céphée" M756 - Date : 14 mars 1985
Construits aux USA, 30 dragueurs de mines côtiers de type Mine Sweeper Coastal MSC 60 ont été transfèrés à la Marine Nationale à l'après-guerre. Au total, ce sont d'ailleurs plus de 100 dragueurs de différents type qui ont ainsi été cèdés à la France. Ces bâtiments resreront en service jusqu'en 1960, à l'apparition des premiers "chasseurs de mines" du type "Circée". Ils seront soit rendus aux USA, soit transformés et affectés à d'autres tâches, soit démolis.
Le Céphée M756 fait partie des quelques bâtiments qui resteront armés comme dragueurs jusqu'à la fin de leur carrière, notamment ceux de la 10ème DIDRA (Division de Dragueurs) stationnés à Cherbourg : Céphée, Verseau, Capella, Phénix et Capricorne.
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Source : Amicale des anciens de la marine de Stiring-Wendel http://marinestiring.com/cariboost1/crbst_33.html
L'Amicale des Anciens de la Marine de Stiring-Wendel est jumelée avec le Marinekameradschaft Ensdorf-Hülzweiler-Schwalbach depuis le 3 Décembre 1967.
Webmaster: NAROZNY Marcel : marcel.narozny@orange.fr - courrier adressez à : marine.stiring@free.fr
La Ville de Stiring WendelElevé au rang de ville par décret signé de la main de Napoléon III en juin 1857, Stiring-Wendel était à l'origine un complexe sidérurgique construit en 1846. A cette époque, la maison des barons industriels de WENDEL avait déjà construit une église, une école et des logements populaires.
Alors que son ex-commune mère, FORBACH restait un bourg agricole, Stiring-Wendel allait connaître un essor industriel grâce à la sidérurgie. Cet essor fut hélas brisé en 1897 par la fermeture de l'usine sidérurgique et Stiring-Wendel connut sa première mutation économique. Elle se releva difficilement de ce premier malheur car de nombreux habitants allaient quitter la région pour s'établir en pays sidérurgique à HAYANGE. Puis vint l'ère charbon. Stiring se repeupla et devint la ville "domicile" de nombreux ouvriers mineurs travaillants dans les puits environnants. L'immigration et l'excédent des naissances allait rapidement faire passer le chiffre de la population de 1900 habitants en 1857 à 16000 habitants en 1957. La deuxième mutation allait s'engager. Si la population a payé durant toutes ces années un lourd tribut à la prospérité économique du pays, elle est, aujourd'hui, avec la fermeture des mines de charbon, une fois de plus, à l'aube d'une nouvelle mutation industrielle et technologique. Grâce à l'énergie et à la volonté de sa population et de ses élus, Stiring-Wendel, ville moyenne de l'Est Mosellan, à cheval sur la frontière Franco-Allemande, doit se forger aujourd'hui une nouvelle identité pour pouvoir passer ce nouveau cap difficile et trouver sa place au coeur de cette Europe unie promise depuis si longtemps. Au delà des clivages et des différences, nous aimerions faire connaître nos villes et nos villages aux visiteurs de ce site Web et contribuer ainsi à faire la promotion de notre belle région. Si d'aventure, votre chemin devait vous mener dans l'Est de la France, n'hésitez pas à faire un détour pour nous rendre visite Vous ne le regretterez pas !
Source : Ville de Stiring Wendel http://www.stiring.net/stiring/ - http://www.stiring-wendel.info/ - Courriel : mairie@rtvcstiring.fr
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Association des Villes Marraines
L'association des villes Marraines, crée en mai 1986, a d'abord rassemblé les collectivités territoriales parrainant les bâtiments de la Marine nationale, selon une tradition, plusieurs fois séculaire, propre à lensemble des marines de guerre européennes.
En 1994, lassociation des Villes Marraines obtenait que ce concept soit étendu aux formations de lAéronautique Navale , et aux Commandos de la Marine .
L'Association des Villes Marraines est née en 1986 de la volonté de Jean-François Pintat, ancien Sénateur-Maire de Soulac sur Mer, d'André Santini, Député-Maire d'Issy les Moulineaux et de l'Amiral Bernard Louzeau, à l'époque Chef d'Etat-Major de la Marine. Elle est l'expression institutionnelle du soutien moral de la Nation à ses forces armées et est indépendante des Armées.
- Missions
- * Établir une concertation étroite et permanente entre les élus locaux et les forces armées.
- * Faire valoir auprès des Institutions de la République et des divers rouages de l'État une doctrine élaborée sur la base du consensus en matière de Défense.
- * Informer les collectivités sur l'engagement solennel et les devoirs formels induits par le parrainage d'unités opérationnelles des Armées.
- * Aider au montage et à l'instruction des dossiers de parrainage et à la préparation des cérémonies.
- * Créer une dynamique de communication et d'échanges entre les collectivités marraines (inter-Armées).
- Manifestations
- * Le prix "Jean-François Pintat", créé en 1990, est destiné à mettre l'accent sur une action originale ou méritoire d'un membre ou d'un groupe de membres du personnel de la Marine nationale servant à bord d'un bâtiment parrainé.
- * Le trophée du parrainage le plus prestigieux de l'année.
- * Une médaille remise à des officiers de la Marine ayant aidé l'association de façon remarquable.
- * Organisation des journées des villes marraines.
Enfin, chaque année, en concertation avec la Marine nationale, l'Association propose à une soixantaine d'adolescents et d'adolescentes méritantes des Villes Marraines d'embarquer sur des bâtiments de guerre. Cette action est en voie d'extension aux autres armées.
Source : MARINE NATIONALE http://www.defense.gouv.fr/marine/les_villes_marraines/